La Cocotte de KOKOTT, c'est moi... Marion DE ROCCO, jeune autoentrepreneuse.

Un peu de sémantique pour vous expliquer le super nom de la marque! KOKOTT, sorte d'acronyme de cocotte, terme usité chez nous, la Bretagne, pour manifester son affection à quelqu'un que l'on a envie de dorloter. Mais cocotte est également, comme vous le savez, un carré de papier plié censé représenter un petit oiseau ou tout autre animal imaginaire.

Bref, je trouvais ça "coco" de faire un mix de tout cela pour donner un nom à mes petits ojets que je veux surtout légers, oniriques, doux, sucrrés...

... J'ai fait un rêve... celui de nous faire un peu rêver...

Joli voyage chez KOKOTT!

Il y a des voyages, des rencontres qui modifient, voire bouleversent le cours d'une vie.

De mon retour d'Afrique du Sud l'année dernière en  septembre 2014, j'ai ressenti comme un immense vertige, un vide que j'ai petit à petit apprivoisé en me laissant guider par les richesses du travail avec les main que j'avais abandonné depuis quelques années. Le retour à la création s'est imposé à moi comme une évidence. Déjà intriguée par la multitude des visages somptueux qu'offre l'Asie, j'ai décidé d'observer et de contempler de plus près l'Art de l'Origami.

Puis,  l'histoire de ce petit oiseau, que l'on nomme "la grue", m'a séduite non seulement pour son allure aérienne et onirique mais aussi pour l'histoire qu'il révèle et l'hommage qu'il rend au petit ange Sadako Sasaki. Ce volatile est alors devenu comme une sorte de mentor de mes créations auxquelles je tente de transmettre comme il le symbolise: onirisme, féménité, légéreté, douceur et sérénité.

Madame La GRUE, voici son histoire: La grue est un oiseau qui est le symbole de la paix au Japon. Une légende japonaise raconte que "Quiconque plie mille grues dans l'année voit son voeu exaucé".

"Le 6 août 1945 à 8h15 du matin, la première bombe atomique explosa environ 580 mètres au-dessus du centre ville d'Hiroshima au Japon. la ville fut pulvérisée au milieu d'une plaine écorchée. De nombreuses vies furent détruites. Sadako avait alors deux ans et se trouvait à deux kilomètres du lieu de l'explosion. La plupart de ses voisins furent tués mais Sadako ne fut pas blessée ou ne sembla pas l'être sur le moment.   En 1954, après une compétition de course à pied,  Sadako fut prise de vertiges qui nécéssita son hospitalisation. On lui annonça qu'elle était atteinte de leucémie. Sadako Sasaki fut diagnostiquée "Hibakusha", c'est à dire une condamnée de la bombe, à cause du rayonnement radioactif auquel son corps à été exposé durant l'explosion...
La meilleure amie de Sadako, Chizuko, lui raconta l'ancienne légende japonaise des 1000 grues et lui apporta unE origami. Au Japon, une ancienne croyance veut que quiconque confectionne mille grues en origami voit un vœu exaucé. Sadako s'attela dès lors à la tâche, espérant que les dieux, une fois les mille grues pliées, lui permettraient de guérir ... Elle confectionna au total 644 grues de papier. Elle mourut le 25 octobre 1955 à l'âge de douze ans. Elle avait plié ses grues avec tout le papier qu'elle pouvait trouver, jusqu'aux étiquettes de ses flacons de médicament. L'histoire de Sadako eut un profond impact sur ses amis et sa classe. Ils finirent de plier les 356 grues restantes et lancèrent un appel pour récolter des fonds afin de construire une statue en l'honneur de Sadako et de tous les enfants affectés par la bombe".

Chacune des créations de Kokott est unique.

Toutes sont présentées avec un assemblage couleur or ou bronze. Il est possible de le faire egalement avec un assemblage argent.

Aucun des matériaux n'est allèrgène ou ne contient nikel ou plomb.

En attente de certaines formalités pour vous annoncer dates et lieux de salons, marchés et autres événements à venir.

En attendant, retrouvez KOKOTT sur "les shops" pour faire des affaires ou encore, contactez-là directement- se rendre sur "contacter l'auteur".

A très vite!

La plupart des créations de KOKOTT sont en papier washi, source wikipédia:

Le washi, également prononcé wagami (和紙, washi, également prononcé wagami, littéralement papier japonais") est le papier fabriqué artisanalement au Japon depuis le VII ème siècle, après l'apport des techniques de papier dit "de soie" par les Chinois avec le bouddhisme, l'écriture, l'imprimerie et l'ensemble de leur culture en Corée et au Japon. Ce papier aux longues fibres de mûrier à papier (Broussonetia papyrifera) entrelacées est connu pour sa légèreté, sa flexibilité et sa solidité. En 2014, le washi a été inclus dans la liste du Patrimoine immatériel de l'humanité de l'UNESCO.

Il en existe plus de quatre cents sortes, aux motifs et aux couleurs variés, qui sont utilisées pour rédiger des cartes ou invitations, recouvrir des boîtes ou encore fabriquer des emballages, des faire-part, des abat-jour ou des cerfs-volants.

Les fibres utilisées les plus connues portent les noms de kōzo, gampi et mitsumata. Chacune d'entre elles confère au papier des caractéristiques particulières.

On l'appelle souvent, par erreur, papier de riz en Occident, alors qu'il est fabriqué à partir des fibres du mûrier à papier.  On l'appelle aussi parfois, par erreur également, papier de soie, le mûrier blanc (Morus alba L.), arbre assez proche, étant l'arbre utilisé pour élever le bombyx, chenille utilisée pour produire la soie.